La mesure des progrès : un bond dans le temps !

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Après une première expérience dans l’audit (il y a maintenant quelques années), j’ai été embauché par la filiale d’un groupe Anglo Américains pour mettre à jour la comptabilité, à l’abandon depuis plusieurs mois.
A l’époque, c’était le système D. Les factures étaient saisies manuellement, il existait peu de solutions de reporting abordables et Excel était installé avec des disquettes (et oui, c’était cette époque là). La mesure des progrès était fastidieuse.

Nous sommes contactés, il y a quelques semaines, par un directeur financier, appelé en urgence par une société de 10 M€ en plein processus de refinancement.

Sa mission : rattraper 4 mois de retard comptable… en 3 semaines. J’ai l’impression de revivre mon expérience !

Mission possible ? Oui, avec méthode et technologie :

  • Première étape : faire un état des lieux précis.
  • Deuxième étape, le FEC est chargé dans E-Clid : l’analyse par cycle d’audit identifie sans surprise les nombreuses zones critiques (Trésorerie, achats et chiffre d’affaires incohérents, TVA non justifiée, immobilisations non suivies…).
  • Troisième étape : Une équipe est constituée pour reprendre les écritures.
     

Chaque semaine, la qualité des comptes progresse et le nombre d’alertes diminue. Plus besoin de relire l’intégralité des 25 000 lignes d’écritures à chaque mise à jour, les alertes ciblées suffisent.

Résultats : grâce à la mesure des progrès et une super équipe, en 3 semaines, la comptabilité est à jour, structurée et fiabilisée.
 
Nous parlons souvent de KPIs, le sien était le score de confiance attribué par E-Clid.

Les discussions avec les partenaires bancaires peuvent reprendre sur des bases solides.